« Amy Winehouse, un portait de famille » retrace le destin d’une chanteuse unique. À travers ses objets personnels, ses écrits inédits et ses photos de famille, cette exposition raconte la naissance d’une icône de la pop culture, depuis ses aïeuls venus de Biélorussie jusqu’à ses succès sur les scènes de Londres, puis du monde entier. On découvre la passion d’Amy Winehouse pour la musique, la mode, les tatouages, mais aussi son attachement à Londres, à sa famille et à ses racines juives.
Conçue en collaboration avec son frère Alex et sa belle-sœur Riva, cette exposition a été présentée à Londres, San Francisco, Amsterdam ou encore Melbourne. Elle achève son parcours à Bruxelles, avant que les pièces uniques qu’elle présente retournent dans la famille Winehouse.
Découvrez la femme derrière la musique dans une exposition intime et émouvante.
Pour prolonger l’exposition « Leonard Freed. Photographier un monde en désordre », le Musée Juif de Belgique s’associe au Brussels Street Photography Festival (BSPF) et célèbre la ville de Bruxelles!
Du 21 février au 17 mars, découvrez Eyewitness in Brussels, qui présente les photos des 21 finalistes de ce concours de photographies sur Bruxelles. Vous pourrez notamment visiter cette exposition qui met à l’honneur la street photography durant la Museum Night Fever, le samedi 23 février 2019.
Peintre, émailleur et illustrateur, Kurt Lewy (1898 – 1963) est né à Essen (Allemagne), où il enseigne les techniques graphiques à la Folkwang Schule de 1929 à 1933. Dès l’avènement du nazisme, cet artiste juif est destitué de ses fonctions. Deux ans plus tard, il fuit l’Allemagne hitlérienne pour s’installer à Bruxelles.
Incarcéré comme sujet ennemi par les autorités belges en mai 1940, Kurt Lewy est interné dans les camps de Saint-Cyprien et de Gurs. En 1942, il parvient à s’évader et revient à Bruxelles, où il se cache durant une vingtaine de mois. En juin 1944, il est arrêté par les nazis, qui l’internent à Malines jusqu’à la Libération.
Après la Seconde Guerre mondiale, Kurt Lewy renonce aux thèmes figuratifs qui guidaient jusqu’alors sa production, marquée à ses débuts par l’expressionnisme allemand. Il se tourne vers l’abstraction, qu’il explorera jusqu’à son décès. Soucieuse d’« éliminer le superflu, l’éphémère, le chaotique », sa recherche géométrique le dégage des angoisses que lui avaient causés le cauchemar de la guerre comme son isolement d’émigré.
L’exposition
S’appuyant sur le patrimoine du Musée Juif de Belgique, mais aussi sur des œuvres de la galerie anversoise Callewaert-Vanlangendonck, cette exposition sort de l’ombre une figure incontournable, mais aujourd’hui tombée dans l’oubli, de la peinture belge d’après-guerre. S’y révèle une œuvre qui, saisissant précipité de l’évolution dès l’histoire de l’art au 20e siècle, montre un chemin qui part de la figuration pour aboutir à l’abstraction.
Cette exposition est organisée en partenariat avec la galerie Callewaert-Vanlangendonck. À découvrir du 11 septembre 2020 au 18 avril 2021 au Musée Juif de Belgique
Publication
Le Musée Juif de Belgique a le plaisir de présenter le premier catalogue publié depuis les années 1980 sur l’artiste Kurt Lewy. Prolongeant l’exposition Kurt Lewy Towards Abstraction, ce catalogue trilingue (français, néerlandais, anglais) est en vente à l’accueil du musée.
« L’œuvre de Kurt Lewy est toute de réflexion et d’intelligence qui rappelle avec beaucoup de gravité que la peinture, pour non figurative qu’elle se soit affirmée, n’est pas nécessairement parente de la gratuité du geste, de la pensée absente.»
— Jacques Meuris, 1962.
À propos de l’exposition
L’exposition « L’ Autre, C’est Moi » organisée par le Centre de la Culture Judeo-Marocaine met en lumière la cohabitation millénaire entre communautés juive et musulmane au Maroc. Vous seront dévoilés des objets rituels et une abondante iconographie qui démontrent la convergence des deux cultures et traditions, provenant de la collection Dahan-Hirsch, la plus importante sur l’histoire et la culture des juifs du Maroc. Les visiteurs y découvrent les vues similaires, sans être forcément identiques, qui animent les deux communautés ainsi que les symboles, et leurs nuances, qui émanent des étapes de vie essentielles que sont la naissance, le passage à la vie adulte, le mariage et la mort. Les différences qui s’affirment dans l’éducation des filles et des garçons ne sont pas écartées. A travers cette histoire commune, la volonté de l’exposition est de montrer comment dans les étapes de la vie humaine, chaque communauté a eu à coeur de souligner par ses rites et ses traditions, des marques d’intégration partagées et qui se sont souvent inspirées les unes des autres.
Les minorités, la guerre, la révolution, les discriminations raciales, le travail, le plaisir, le maintien de l’ordre, la pauvreté, l’art ou encore la vie quotidienne sont au cœur du travail de ce « photographe documentaire ». Leonard Freed cherche à comprendre les raisons qui poussent les individus à faire ce qu’ils font, en s’intéressant à des moments-clés de l’histoire politique mondiale qu’il accompagne en tant que témoin engagé. Le conflit israélo-palestinien (depuis 1948), le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis (1954 – 1968), l’Allemagne à l’heure de la Guerre froide, ou encore la révolution en Roumanie (1989) : loin de choisir ses sujets au hasard, Leonard Freed entend, par ses photographies, dénoncer le monde tel qu’il est.
Venez (re)découvrir, à travers le regard singulier d’un photographe majeur du XXe siècle, les évènements qui ont marqué l’histoire contemporaine.
Cette exposition est accompagnée d’un dossier pédagogique et d’un dossier de presse.
Infos complémentaires
Conçue en partenariat avec l’agence américaine Magnum, cette exposition présente une rétrospective de l’œuvre du photographe juif américain Leonard Freed (1929 – 2006).
Né en 1961 à Bruxelles, Stéphane Mandelbaum produit de façon compulsive dès l’enfance des séries de dessins, dont on retrouve l’essentiel dans cette exposition monographique construite à la manière d’un récit. À l’âge de 25 ans, il est assassiné dans de sombres circonstances par la pègre. « À force », résume l’un des meilleurs spécialistes de son œuvre, « Mandelbaum est devenu ce qu’il mettait sur le papier ».
On peut lire l’œuvre iconoclaste de Stéphane Mandelbaum comme le journal intime d’un artiste, qui, d’une part se crée en personnage romanesque, et d’autre part suit une quête d’identité porté par son héritage juif.
Pêle-mêle de destins entrelacés (il se passionne pour Pasolini, Bacon, Rimbaud), d’images projetées (l’écriture yiddish le fascine) mais aussi confrontés au réel (les braquages du milieu belge), les dessins de Mandelbaum posent un imaginaire sur le papier, et laissent cours à une large part d’aléatoire dans le processus artistique. Il en résulte un travail expressionniste et ambigu et dont se détache une forte volonté d’offenser.
Après le Centre Georges Pompidou à Paris, le Musée Juif de Belgique aura le plaisir d’accueillir cette exposition du 14 juin au 22 septembre 2019.
Art on Paper inaugure sa première Brussels Drawing Week et nous sommes fiers d’y participer!
Dès le 22 octobre, nous invitons le Art et Marges musée à prendre possession de nos espaces. Sous forme de carte blanche, Art et Marges présentera un choix de dessins sensibles d’artistes emblématiques, sélectionnés parmi les quelques 3500 pièces d’art brut et apparenté de ses collections.
Comment naissent les super-héros? À travers plus de deux cents oeuvres, l’exposition ‘Superheroes Never Die. Comics and Jewish Memories’ raconte comment la bande dessinée américaine s’entremêle, depuis ses débuts et jusqu’à aujourd’hui, aux tumultes de l’Histoire.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, une génération de dessinateurs juifs américains, si soucieux de s’intégrer qu’ils dissimulent leurs patronymes aux consonances étrangères, donnent naissance aux plus célèbres super-héros : Batman, Superman, Captain America, ou Spiderman. Près d’un siècle plus tard, les super-héros restent des figures centrales de nos cultures contemporaines. Si les causes qu’ils défendent ont changé, les questions d’identité et d’intégration, déjà abordées dans les années 1930, s’y lisent encore. Parce qu’une société en crise a toujours besoin de super-héros.
Cette exposition a été produite en partenariat avec le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme Paris et le Joods Historisch Museum Amsterdam.
Le Musée Juif de Belgique présente « Horizontal Mattress », une exposition de l’artiste israélienne Aviv Szabs.
La jeune plasticienne (1992) développe ici une création inédite, dans le contexte d’un projet initié il y a trois ans à Tel Aviv. Tout part d’une vision presque banale : un matelas jauni par le temps, abandonné dans la rue au milieu des ordures. Une image qui soudainement la bouleverse et l’interpelle. Que va devenir cet objet qui a abrité l’intimité ? C’est le début d’une enquête au cœur de la matière usée et orpheline, qu’elle questionne et réhabilite jusqu’à l’obsession. Une œuvre à mi-chemin entre installation et performance, qui nous invite à penser le matelas, élément matériel de notre quotidien, comme objet organique, porteur de mémoire et de lien.
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