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Description du poste

Les bénévoles à l’accueil sont amenés à recevoir les visiteurs, ils répondent au téléphone et transmettent les communications aux membres du personnel. Ils sont chargés de la vente des billets et de présenter succinctement les expositions en cours.

Profil

Nous recherchons des personnes de bonnes présentations, dynamiques et ponctuelles, parlant très bien une des langues nationales, et possédant une aisance dans l’autre langue, avec de bonnes notions d’anglais. Un attrait pour l’art et l’histoire est un atout.

Merci de contacter Ethy Saul par courriel : ethy@mjb-jmb.org ou par téléphone : 02 649 50 14 le mardi ou jeudi après-midi.

L’histoire du Maroc incarne un cas exceptionnel de convivialité judéo-musulmane. Présents depuis plus de deux mille ans, Juifs et Musulmans ont vécu côte à côte pendant des siècles. A travers ces photographies, les objets, coutumes et traditions de ces femmes et hommes nous sont révélés. Une centaine de clichés inédits pris par Aron Zédé Schulmann au début des années 1950, pour immortaliser l’histoire des Juifs du Maroc, fut présentée.

Cette exposition est réalisée en coopération avec le CCJM. Elle est accompagnée de textes rédigés par les élèves du Lycée Guy Cudell de Saint-Josse qui, encadrés par leurs professeurs de français et d’histoire, ont décidé d’élargir le thème original en se focalisant sur les rapports entre Juifs et Musulmans de la naissance de l’Islam jusqu’au au déclin de l’Empire ottoman.

Cette exposition est itinérante. Elle a été présentée à la Maison Communale de St Josse du 26 janvier au 3 février, dans quatre Maisons de quartier de la Ville de Bruxelles (Midi, Haren, Willems et Rossignol), du 9 février au 3 mars, à la Maison des Cultures et de la Cohésion Sociale à Molenbeek du 9 au 26 mars, au Parlement bruxellois en mai et à la Maison Communale d’Evere en septembre 2017. Cette exposition a connu un véritable engouement et nous a permis de toucher des publics très variés, en allant directement sur place, dans des communes où les habitants ne franchissent pas toujours les frontières invisibles de l’espace bruxellois.

Elle fut accompagnée de nombreuses activités dont des conférences, projections de films, ateliers de calligraphie, ateliers olfactifs et concerts. Le dossier pédagogique suivant est mis à la disposition des professeurs, animateurs et encadrants.

Plus de 180 nationalités se côtoient aujourd’hui à Bruxelles. Au-delà des chiffres, chacun de ces émigrés a son histoire, son parcours, ses espoirs.

Depuis 1830, différentes vagues d’émigration se sont succédé. Pourquoi ces femmes et ces hommes ont-ils quitté leur pays ? Bruxelles a-t-elle été, pour eux, une terre d’accueil ?

Cette exposition raconte comment la capitale belge s’est peu à peu transformée en « ville-monde ». Elle retrace sur près de deux siècles le parcours de ces étrangers installés à Bruxelles pour quelques mois ou pour toujours, à travers les objets qu’ils ont emportés avec eux, leurs témoignages personnels ou leurs photographies de famille.

Outre ce volet historique, « Bruxelles, terre d’accueil ? » présente le travail de Kika Nicolela, Thomas Israël, DK Ange, Nadia Berriche, Thomas Marchal, Christopher de Béthune, le collectif Farm Prof, In Your Box Project, Ilyas Essadek et Herman Bertiau, artistes basés à Bruxelles (photographes, street artists, sculpteurs, vidéastes) qui abordent la question migratoire et la diversité culturelle dans le Bruxelles d’aujourd’hui.

Des projections de films, des performances artistiques participatives, des conférences et des ateliers ponctueront cette exposition organisée par le Musée Juif de Belgique et les Archives de l’Etat et qui a bénéficié du concours du Centre de la Culture Judéo-Marocaine. Elle sera accompagnée d’un numéro spécial de l’Agenda Interculturel réalisé par le Centre Bruxellois d’Action Interculturelle. Cette exposition est trilingue : français, néerlandais et anglais.

Présentant des costumes, dessins, photos et vidéos, le « Chantier Poétique » a été initié par l’artiste bruxellois Stephan Goldrajch au Musée Juif de Belgique à partir de 2015. Son projet fait entrer en résonance histoires fondatrices de la Bible et transformation du bâtiment du Musée.
Ce jeune artiste plasticien, qui s’est associé pour ce projet à la photographe Myriam Rispens, manie différentes disciplines (dessin, crochet, tissage, broderie, couture…). Il vit son travail de créateur comme une réponse à l’impératif de « créer du lien ». Reconstruire des systèmes de parenté entre l’homme et son environnement, et entre des cultures, telle est la gageure de sa démarche plastique et politique.

« Amy Winehouse, un portait de famille » retrace le destin d’une chanteuse unique. À travers ses objets personnels, ses écrits inédits et ses photos de famille, cette exposition raconte la naissance d’une icône de la pop culture, depuis ses aïeuls venus de Biélorussie jusqu’à ses succès sur les scènes de Londres, puis du monde entier. On découvre la passion d’Amy Winehouse pour la musique, la mode, les tatouages, mais aussi son attachement à Londres, à sa famille et à ses racines juives.

Conçue en collaboration avec son frère Alex et sa belle-sœur Riva, cette exposition a été présentée à Londres, San Francisco, Amsterdam ou encore Melbourne. Elle achève son parcours à Bruxelles, avant que les pièces uniques qu’elle présente retournent dans la famille Winehouse.

Découvrez la femme derrière la musique dans une exposition intime et émouvante.

Pour prolonger l’exposition « Leonard Freed. Photographier un monde en désordre », le Musée Juif de Belgique s’associe au Brussels Street Photography Festival (BSPF) et célèbre la ville de Bruxelles!

Du 21 février au 17 mars, découvrez Eyewitness in Brussels, qui présente les photos des 21 finalistes de ce concours de photographies sur Bruxelles. Vous pourrez notamment visiter cette exposition qui met à l’honneur la street photography durant la Museum Night Fever, le samedi 23 février 2019.

Le musée est ouvert de mardi à vendredi de 10h à 17 heure est le samedi et dimanche de 10h à 18h.

Veuillez trouver ici les dossiers pédagogiques de nos workshops et activités liées aux expositions.

  • Dossier pédagogique des workshops « Let’s meet a Jew« : Télécharger
  • Dossier pédagogique sur l’exposition temporaire « Kurt LewyToward Abstraction » : Télécharger
  • Dossier pédagogique de l’exposition temporaire « Super Heroes Never Die » (2019-2020) : Télécharger
  • Dossier pédagogique du projet « You Can’t Build The World Alone » : Télécharger
  • Dossier pédagogique de l’exposition permanente « Traditions« : Télécharger
  • Dossier pédagogique de l’exposition permanente « L’autre c’est moi » : Télécharger

Being Home is… que le Musée Juif de Belgique a mis sur pieds en 2020-2021 à l’occasion de l’exposition photo et vidéo Assaf Shoshan – Home, à l’attention de dix jeunes francophones et néerlandophones. Fidèle à sa philosophie d’ouverture, le Musée Juif leur a demandé de repérer divers stéréotypes inscrits dans la société contemporaine en partant des expériences et du vécu de la minorité juive face à l’antisémitisme. Ces stéréotypes furent ensuite représentés en images.

À partir d’une exploration d’eux-mêmes et du travail d’Assaf Shoshan, les jeunes ont interrogé ce à quoi peuvent mener les stéréotypes et les préjugés, comment une image peut remettre en question l’évidence et nous faire prendre conscience que nos idées sur l’autre sont souvent infondées.

Durant le confinement, ce projet a pris une tournure particulière. Ce qui était initialement prévu comme un questionnement sur la notion de Home, de frontières et de rapport à l’Autre s’est transformé et rapetissé. Les mesures sanitaires drastiques en restreignant la vie sociale aboutirent inévitablement à un éloignement physique de l’Autre et à un repli sur soi. Being Home is … prenait vie. Cependant, de la dynamique des ateliers est née la force de dépasser ce tête à tête, d’abandonner ce moi familier et de montrer le monde du point de vue de l’Autre. Ce magazine reflète non seulement l’atmosphère oppressive de la pandémie, mais il est également devenu la promesse d’un renoncement possible aux stéréotypes et aux préjugés.

Sérieusement retardé par la pandémie de Covid-19, ce projet a été mené par des guides expérimentés, Delphine d’Elia et Amir Haberkorn, et la jeune photographe Hanne Grobet. Leur engagement fut inconditionnel et sans leur force motrice, en ces temps difficiles, le projet n’aurait pas été possible. Nous remercions également l’Ambassade d’Allemagne à Bruxelles pour son engagement constant dans la lutte contre l’antisémitisme et pour son soutien financier lors de la présidence de l’Allemagne de l’International Holocaust Remembrance Alliance. Enfin, nous remercions chaleureusement Mme Florence Lamand, attachée culturelle de l’Ambassade, pour sa participation active au projet.